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Le chavalier au Lion lecture cursive DM

Chrétien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au lion (1176): Biographie d...
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Bac Général

Première
Année académique : 2019/2020
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Université de Strasbourg

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Devoir-Maison pour préparer les entreiens des EAF :

 Chréien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au lion (1176)

J’ai choisis de vous présenter le Chevalier au Lion, qui s’inscrit dans le parcours ... et je vais vous expliquer en quoi il s’inscrit dans ce parcours!

 Biographie de Yvain, le héros du roman : (très courte !!!)

Idenité : Fils du roi Urien, Chevalier à la cour du roi Arthur, cousin de Calogrenant (Chap. 1, l)

Caractérisiques physiques et morales : Au début du roman, Yvain est fort, vaillant, courageux, mais également orgueilleux, et violent.

Parcours du début à la in du roman :

Yvain est un chevalier de la Table Ronde qui va vouloir venger son cousin. Il combat donc contre Esclados le Roux qui va mourir mais est tout de même fait prisonnier. Cependant, il va tomber amoureux de Dame Laudine, la femme d’Esclados le Roux. Il lui sera inidèle et perdra donc son amour! Dans la suite du roman, il essayera à tout prix de la retrouver en montrant sa bravoure et son courage à travers plusieurs épreuves.

/!\ relire le résumé de l’autre doc pour les éventuelles quesions

Il passe de simple chevalier à seigneur, d’appreni à émérite. Yvain devient un modèle de chevalerie. Il est courtois, idèle, honnête. Il sait se batre, ne craint pas le danger, et aime les déis. Mais il n’acquiert ce statut qu’à la in du roman !!!

 Indicaions narratologiques :

Narrateur = auteur = Chréien de Troyes

Dans le prologue : il veut montrer ce qu’est réellement l’amour courtois! Il jusiie ainsi ce qu'il va raconter ; s'il fait le récit des aventures des chevaliers de la table ronde, c'est parce ses contemporains ne connaissent plus leurs valeurs exemplaires. Il montre ainsi qu’il admire ses personnages. L'auteur vante les valeurs de la chevalerie, représentées par Yvain : courage, force, idélité, endurance, défense des plus faibles...

Il donne quelquefois son avis et intervient dans le texte (chap, l ; chap, l ; ch8, l156 ; ch11, l214).

PDV externe (tout au long du roman lors des descripions) ou interne, surtout PDV d’Yvain (chap6, l  il songeait ; chap6, l71 à 75)

Le narrateur intervient souvent pour décrire lui-même les personnages : le point de vue d’Yvain disparaît lorsqu’il devient invisible. Au moment où entre Laudine, c’est donc le narrateur qui décrit son excepionnelle beauté, sans donner d’indicaions sur les seniments d’Yvain. Pour les connaître, il faudra atendre qu’il demande à Lunete une fenêtre d’où il pourrait observer la procession funéraire.

p : chap. 4, l : ironie du narrateur : il criique la rapidité du deuil et du remariage de Laudine.

 Rélexion sur le caractère héroïque :

Au début du roman, Yvain apparaît comme un preux chevalier mais qui est encore appreni :

Il est galant, courtois, vaillant, et fort (il va batre Esclados le roux) mais il a encore beaucoup de valeurs à acquérir. En efet, il veut une gloire personnelle (lorsqu’il cherche à aller seul à la fontaine), il est orgueilleux. Puis, il ne va pas mériter réellement l’amour de sa dame : il va l’obtenir grâce à Lunete. Ensuite, Il va être tenté par les aventures des chevaliers de la cour, par la gloire et les tournois, il rejoint donc Gauvain et consacre son temps à des rencontres où sa prouesse fait merveille, mais où il ne gagne que vaine gloire et renommée mondaine. Ces victoires vont entraîner son inidélité, puisqu’il ne va pas tenir sa promesse envers sa dame. Enin, il va devenir fou de désespoir, il ne saura pas se contrôler à tel point qu’il va se comporter comme un sauvage, comme un animal.

Tout au long du roman, Yvain va acquérir des valeurs chevaleresques :

Tout l’enjeu pour Yvain va être de se racheter et de prouver, non plus son courage guerrier, mais sa valeur auprès de sa femme. C’est une quête iniiaique, c’est-à-dire qu’Yvain va apprendre de ses erreurs.

Tout d’abord, il va délivrer un lion, qui représente le courage et la force, la noblesse et la générosité et donc le bien, d’un serpent, qui représente la peridie, le mal. Mais il va se poser la quesion, ce qui montre que ce n’est pas tout à fait un héros (Chap, l : « Laquelle des deux bêtes fallait-il aider? »). Puis lors de ces combats, il va défendre les plus faibles tout en respectant la jusice, ce qui montre qu’il évolue, puisqu’il ne se bat plus pour sa propre gloire, mais pour aider les autres. Il va être idèle à son lion, il ne le laisse pas tomber : il l’emmène partout où il va. Mais celui-ci va l’aider, et faire la diférence dans le combat, ce qui révèle qu’Yvain n’a pas une force surhumaine caractérisique des héros médiévaux. De plus, il n’épargne que très peu ses ennemis alors que le code d'honneur des chevaliers consiste à ne donner la mort à ses adversaires qu’en cas d'extrême nécessité. Or, on peut remarquer qu’il est très violent (" Yvain lui ôte un morceau de joue assez grand pour faire une grillade "  Harpin ; " il lui tranche la tête au ras des épaules "  les ils de Netun...), cela est jusiié s’il a réellement risqué sa vie. Le sang qui coule témoigne de la force d’Yvain lorsqu’il s’agit de l’adversaire et de son courage lorsqu’il s’agit de lui-même (conter Gauvain). Yvain peut être vu comme un héros qui bat considérablement ses adversaires, et qui se défend à merveille. Cependant, il peut aussi être vu comme un homme qui n’a pas de piié, qui est violent et qui combat ses adversaires jusqu’à la mort même quand lui n’est plu en danger de mort. Bien qu’il agisse de la sorte, le narrateur semble le protéger, comme lors du combat contre les deux Netuns, où il intervient et explique qu’il aurait été fou de ne pas prendre cete occasion (chap, l). Les valeurs de force et de courage sont renforcées par le fait qu’il combat sans jamais tenter de s'échapper. De plus, ses ennemis sont de plus en plus forts et monstrueux : il doit prouver sa valeur contre des êtres surnaturels (Le serpent est un « animal maléique » ; Harpin est un géant ; les deux ils du Netun sont « noirs et hideux ») qu’il arrive à batre : le serpent n’a jamais le dessus, il est très vite vaincu (grammaicalement : le serpent est en posiion de COD dans la seule phrase uilisée pour décrire l’acion.). Ces exploits lui ont permis de regagner le cœur de sa dame qu’il a à présent mérité.

A la in du roman, Yvain est courtois, idèle et honnête, il devient un modèle pour les chevaliers, et donc un héros :

Le parcours d’Yvain comporte de nombreux exploits. Ce chevalier connaît la gloire et la reconnaissance. Mais il commet de très graves fautes qui le conduisent presque à sa perte. Il parvient malgré tout à faire les bons choix, et après avoir appris de ses erreurs, il parvient à corriger les torts

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Chrétien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au lion (1176)
J’ai choisis de vous présenter le Chevalier au Lion, qui s’inscrit dans le parcours et je vais vous
expliquer en quoi il s’inscrit dans ce parcours !
Biographie de Yvain, le héros du roman : (très courte !!!)
Identité : Fils du roi Urien, Chevalier à la cour du roi Arthur, cousin de Calogrenant (Chap. 1, l.13)
Caractéristiques physiques et morales : Au début du roman, Yvain est fort, vaillant, courageux, mais
également orgueilleux, et violent.
Parcours du début à la fin du roman :
Yvain est un chevalier de la Table Ronde qui va vouloir venger son cousin. Il combat donc contre
Esclados le Roux qui va mourir mais est tout de même fait prisonnier. Cependant, il va tomber
amoureux de Dame Laudine, la femme d’Esclados le Roux. Il lui sera infidèle et perdra donc son
amour ! Dans la suite du roman, il essayera à tout prix de la retrouver en montrant sa bravoure et son
courage à travers plusieurs épreuves.
/!\ relire le résumé de l’autre doc pour les éventuelles questions
Il passe de simple chevalier à seigneur, d’apprenti à émérite. Yvain devient un modèle de chevalerie. Il
est courtois, fidèle, honnête. Il sait se battre, ne craint pas le danger, et aime les défis. Mais il
n’acquiert ce statut qu’à la fin du roman !!!
Indications narratologiques :
Narrateur = auteur = Chrétien de Troyes
Dans le prologue : il veut montrer ce qu’est réellement l’amour courtois ! Il justifie ainsi ce qu'il va
raconter ; s'il fait le récit des aventures des chevaliers de la table ronde, c'est parce ses
contemporains ne connaissent plus leurs valeurs exemplaires. Il montre ainsi qu’il admire ses
personnages. L'auteur vante les valeurs de la chevalerie, représentées par Yvain : courage, force,
fidélité, endurance, défense des plus faibles…
Il donne quelquefois son avis et intervient dans le texte (chap.7, l.22 ; chap.13, l.139 ; ch8, l156 ;
ch11, l214).
PDV externe (tout au long du roman lors des descriptions) ou interne, surtout PDV d’Yvain (chap6,
l.43 il songeait ; chap6, l71 à 75)
Le narrateur intervient souvent pour décrire lui-même les personnages : le point de vue d’Yvain
disparaît lorsqu’il devient invisible. Au moment où entre Laudine, c’est donc le narrateur qui décrit
son exceptionnelle beauté, sans donner d’indications sur les sentiments d’Yvain. Pour les connaître, il
faudra attendre qu’il demande à Lunette une fenêtre d’ il pourrait observer la procession funéraire.
p.54 : chap. 4, l.249 : ironie du narrateur : il critique la rapidité du deuil et du remariage de Laudine.