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– La Princesse de Clèves

La Princesse de Clèves
Matière

Français

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DiplômeClasse

Bac Général

Première
Année académique : 2021/2022
AuteurMadame de Lafayette

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Aperçu du texte

Cours Chami 24/05 – La Princesse de Clèves

  • Cette scène est un moment clé du roman

  • Cet aveu est une manière d’invoquer la protection de son mari

  • Son aveu est assez détourné

  • « je vais vous faire un aveu » : elle a conscience du caractère étonnant de son mari

  • L’aveu n’est pas explicite

  • Les paroles qu’elle va prononcer sont des paroles qui n’ont pas de places entre un mari et une femme

  • Le mot aveu est très connoté ici, elle se déculpabilise

  • Elle voit son mari comme un confesseur

  • La princesse de Clèves évoque ici l’innocence de sa conduite

  • (l) : raisonnement concessif

  • Cet aveu n’est pas complet

  • Elle réussit la prouesse de confesser la tentation de l’adultère sans en citer le nom

  • Elle parle par énigmes

  • Elle est dans l’esthétique précieuse

  • Elle utilise l’aveu pour se défendre de ce qui pourrait lui arriver

  • Elle utilise tt les dispositifs de la rhétorique classique

  • Exorde

  • Elle tente de capter la bienveillance de son mari

  • Elle fait aussi appel à l’émotion de son mari

  • C’est un aveu ou elle n’avoue rien et clame son innocence

  • Elle parait en position de faiblesse mais elle est en réalité totalement maitresse de ses actions

  • Elle apparait comme héroïque, comme maitresse d’elle-même

  • Elle se présente comme une jeune femme désarmée

  • Elle inscrit sa plaidoirie dans un registre épique

  • « je vous demande mille pardons... » on relève un chiasme o Elle se met dans la position d’une héroïne cornélienne

  • Elle est maitresse de la situation et de son discours

  • Cette situation devrait la mettre en position de faiblesse mais au contraire

  • La princesse de Clèves est toujours admirable par le choix qu’elle a fait pour son aveu

  • Elle est vue comme une sainte par son mari

  • Mr de Clèves est terriblement affligé

  • Sa gestuelle est tragique

  • « ayez pitié de moi ».... : Anacoluthes

  • Registre pathétique et vocabulaire tragique

  • Il est animé par une jalousie naturelle qu’il n’arrive pas à étouffer, contrôler o c’est un homme sincère qui aime sa femme

  • Sa série de question montre a quel point il est ému

  • « Vous me paraissez plus digne d’estime... » : il la pose sur un pied d’estale

  • « vous m’avez donné de la passion » : analepse

  • A aime B, B aime C et C aime B mais amour impossible -> équation racinienne o Cela fait du prince de Clèves un personnage tragique

  • Il lui dit qu’il l’aime encore plus

  • Il est lucide : il sait que cet amour n’est pas réciproque

  • Il avoue une vraie douleur sincère causée par cet aveu

  • Il répond de manière ferme et très catégorique o Il utilise le champ lexical de la vertu

  • La série de questions marque l’agitation et la jalousie du prince de Clèves

  • Il avoue qu’il a eu du chagrin de ne pas se sentir aimé

  • Le prince de Clèves apparait comme un modèle de perfection

  • « je ne réponds pas comme je dois à un procédé comme le votre » : il pense qu’il est indigne d’elle. Il lui conserve tt son amour et son admiration.

  • Il réinstalle le rapport de supériorité qui fait leur couple : l’amour courtois o Il l’élève par le discours

  • Il ramène la défaillance à lui : il inverse les rôles

  • Il est quand même jaloux

  • Il met en cause ses capacités à lui à se faire aimer de sa femme

  • Il marque son désespoir

  • C’est une scène extraordinaire : o Deux personnages sublimes

  • Les deux personnages suscitent de l’admiration et de la pitié

  • Princesse de Clèves : héroïne cornélienne

  • Prince de Clèves :

  • La princesse met son cœur à nu : elle s’oppose au système sentimental de la cour qui régit par la dissimulation

  • Elle est parfaitement consciente de la dimension non conventionnelle de son aveu

  • C’est aussi un aveu de la passion qu’elle éprouve pour le duc de Nemours

  • Le cote spectaculaire de l’aveu montre la passion qu’a la princesse pour le duc

  • Madame de la Fayette utilise un dispositif très ingénieux pour faire adhérer le lecteur au discours de la princesse

  • Il s’agit d’un aveu paradoxal et sublime

  • Elle a bcp d’estime pour elle-même

  • Elle annonce un aveu fracassant

  • C’est un aveu très partiel et très maitrisé

  • Chacun des deux personnages essaye de garder l’estime de l’autre

  • Cette scène est théâtrale et pathétique

  • L’aveu de Fèdre à Hyppolite

  • Britannicus : l’empereur Néron est amoureux de Junie et va assister caché à l’entretien de...

  • Le discours est composé de deux longues tirades

  • La princesse suscite la compassion d’abord par sa physionomie

  • Elle suscite aussi la pitié du lecteur et de son mari car c’est une jeune fille seule au monde

  • On a deux êtres d’exceptions qui rivalisent par la souffrance

  • L’amour ne rend absolument pas heureux chez Madame de La Fayette

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Cours Chami 24/05 – La Princesse de Clèves
-Cette scène est un moment clé du roman
-Cet aveu est une manière d’invoquer la protection de son mari
-Son aveu est assez détourné
-« je vais vous faire un aveu » : elle a conscience du caractère étonnant de son mari
-Laveu n’est pas explicite
-Les paroles qu’elle va prononcer sont des paroles qui n’ont pas de places entre un mari et une
femme
-Le mot aveu est très connoté ici, elle se déculpabilise
-Elle voit son mari comme un confesseur
-La princesse de Clèves évoque ici l’innocence de sa conduite
-(l.3) : raisonnement concessif
-Cet aveu n’est pas complet
-Elle réussit la prouesse de confesser la tentation de l’adultère sans en citer le nom
-Elle parle par énigmes
-Elle est dans l’esthétique précieuse
-Elle utilise l’aveu pour se défendre de ce qui pourrait lui arriver
-Elle utilise tt les dispositifs de la rhétorique classique
-Exorde
-Elle tente de capter la bienveillance de son mari
-Elle fait aussi appel à l’émotion de son mari
-Cest un aveu ou elle n’avoue rien et clame son innocence
-Elle parait en position de faiblesse mais elle est en réalité totalement maitresse de ses actions
-Elle apparait comme héroïque, comme maitresse d’elle-même
-Elle se présente comme une jeune femme désarmée
-Elle inscrit sa plaidoirie dans un registre épique
-« je vous demande mille pardons… » on relève un chiasme
oElle se met dans la position d’une héroïne cornélienne
-Elle est maitresse de la situation et de son discours
-Cette situation devrait la mettre en position de faiblesse mais au contraire
-La princesse de Clèves est toujours admirable par le choix qu’elle a fait pour son aveu
-Elle est vue comme une sainte par son mari
-Mr de Clèves est terriblement affligé
-Sa gestuelle est tragique
-« ayez pitié de moi »…. : Anacoluthes
-Registre pathétique et vocabulaire tragique
-Il est animé par une jalousie naturelle qu’il n’arrive pas à étouffer, contrôler
oc’est un homme sincère qui aime sa femme
-Sa série de question montre a quel point il est ému
-« Vous me paraissez plus digne d’estime… » : il la pose sur un pied d’estale
-« vous m’avez donné de la passion » : analepse
-A aime B, B aime C et C aime B mais amour impossible -> équation racinienne
oCela fait du prince de Clèves un personnage tragique