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Le sport : miroir de notre société ?

Réflexion autour d'un sujet donné. Voici mon analyse en fonction d'ouv...
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Communication expression

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Année académique : 2015/2016
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PAPIN Yann L1 - UCO

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LE SPORT, MIROIR DE NOTRE SOCIETE?

Dans ce corpus, le sujet principal est le sport et plus particulièrement son rapport avec la société capitaliste. En effet, le premier texte est un article de Mathieu LARNAUDIE qui a pour titre « Le sport, une machine infernale ». Dans ce texte l’auteur compare le sport à un grand commerce. Concernant le deuxième texte, il s’agit d’un article rédigé par Vincent CHAUDEL sur le site du Figaro le 15 Octobre 2012. Dans ce texte, l’auteur parle du lien entre l’argent et le sport mais aussi du dopage et de la tricherie. Le troisième texte a pour titre « Sport et Argent : une vieille histoire d’amour », il est extrait du journal le Monde publié le 19 Octobre 2012 et rédigé par Sébastien NADOT. Ce texte montre une vision plus positive du sport même si l’on constate quand même le rapport à l’argent encore trop présent. Le quatrième document est un dessin de PLANTU extrait du recueil WANTED publié en 2001. C’est pourquoi nous pouvons alors nous demander en quoi le sport est une représentation idéalisée de la société. Nous aborderons donc dans un premier temps le sport et son image idéalisée de la société. Puis, dans

un deuxième temps, les valeurs sportives aujourd’hui entachées.

Lorsqu’on évoque le terme « sportif », il nous vient immédiatement l’idée d’une personne en très grande forme physique, toujours rendue dans les salles de sport ou sur un terrain. Cependant, la société d’aujourd’hui a tendance à sur estimer ces individus qui ne sont en réalité que des hommes et des femmes comme nous tous, dotés de leurs qualités mais aussi de leurs défauts. En effet, on oublie souvent que derrière cette capacité exceptionnelle qu’ils ont de gagner des matchs ou des prix, la question de l’argent est bien présente. Sébastien NADOT dans son article Sport et argent : une veille histoire d’amour nous le rappelle : « Du côté des sportifs, l’argent est un facteur déterminant de leur mode de pratique. Beaucoup courent après les récompenses sous toutes leurs formes ». C’est pour cela qu’il semble important de se rendre compte qu’au-delà du domaine sportif, l’athlète est bien plus considéré pour sa valeur « marchande » que pour son talent propre. D’ailleurs, le sportif sait se vendre si besoin est et trouver des moyens pour parvenir à ses fins. Attention tout de même à ne pas généraliser mais il faut garder à l’esprit que ces individus sont avant tout humains avant d’être athlètes professionnels et que l’argent joue un rôle primordial si ce n’est « omniprésent dans l’organisation du sport » - comme le dit l’auteur cité précédemment.

(MANQUE PETIT 2)

PAPIN Yann L1 - UCO

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D’après les auteurs, aujourd’hui le sport est aussi devenu un synonyme du mot argent. En effet, le sport est devenu un secteur économique dans notre société capitaliste. D’après Vincent CHAUDEL, Sébastien NADOT et Mathieu LARNAUDIE, certaines valeurs sportives ont été perdues au profit de l’argent. Les sportifs ne sont plus à la recherche de la performance mais plutôt de la récompense. Ils ne sont plus motivés par les records mais par le gain financier. De plus, selon Vincent CHAUDEL et Mathieu LARNAUDIE, le domaine sportif est aujourd’hui devenu un commerce. En effet, tout est prétexte à profit : vente de places de match, inscription à un sport, vente de matériel sportif... Puis, l’image du sportif est utilisée pour le commerce. Il va devenir l’image de marques et ainsi booster les ventes de celle-ci. D’après eux, le sport devient alors un business et il perd donc sa fonction première qui est de divertir. PLANTU, Sébastien NADOT, et Mathieu LARNAUDIE montrent que derrière l’image d’une équipe sportive se cache toute une opération marketing. Il existe une hiérarchie au sein de l’équipe rappelant celle d’une entreprise. Ce n’est plus le goût du sport qui les rassemble, mais l’appât du gain. D’après ces auteurs, le sport est un commerce validé par les médias. Le sport est devenu un nouveau marché où les sportifs n’ont plus vraiment leur mot à dire. Le sport reflète alors la philosophie de notre société capitaliste.

Ensuite, selon Mathieu LARNAUDIE et Vincent CHAUDEL, la recherche du profit va amener certains sportifs à vouloir améliorer leurs exploits. Pour arriver à l’apogée de leurs performances et ainsi gagner le maximum d’argent, les sportifs vont avoir recours à différentes pratiques ramenant à la tricherie. En effet, en voyant la récompense au bout d’une course ou d’un match, l’individu est plus motivé à gagner et va donc utiliser des moyens malhonnêtes pour y arriver. Selon les auteurs, les valeurs de respect ou d’honnêteté portées par le sport vont donc être entachées par ces pratiques. Le sportif peut avoir recours au dopage pour atteindre son objectif qui n’est plus forcément la gloire mais plutôt le gain. En se dopant, en trichant, les sportifs ne respectent plus les règles et ne respectent donc plus les personnes qui les soutiennent. Avec ses pratiques devenues courantes, le sport perd ses valeurs et son image d’honnêteté.

De nos jours, le sport est considéré comme une pratique sociale universelle qui prend de plus en plus d’ampleur de par sa diversité. En effet, le sport permet de diffuser des valeurs, notamment celles du sport de haut niveau, à l’ensemble de la société. Cela nous a amené à nous demander, en quoi le sport est perçu comme une représentation idéalisée de la société. Nous avons répondu à cette problématique en deux parties. Une première sur le sport et son image idéalisée de la société et une seconde sur les valeurs sportives qui sont, aujourd’hui, entachées.

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Dans ce corpus, le sujet principal est le sport et plus particulièrement son rapport avec la société
capitaliste. En effet, le premier texte est un article de Mathieu LARNAUDIE qui a pour titre
« Le sport, une machine infernale ». Dans ce texte l’auteur compare le sport à un grand
commerce. Concernant le deuxième texte, il s’agit d’un article rédigé par Vincent CHAUDEL
sur le site du Figaro le 15 Octobre 2012. Dans ce texte, l’auteur parle du lien entre l’argent et
le sport mais aussi du dopage et de la tricherie. Le troisième texte a pour titre « Sport et Argent :
une vieille histoire d’amour », il est extrait du journal le Monde publié le 19 Octobre 2012 et
rédigé par Sébastien NADOT. Ce texte montre une vision plus positive du sport même si l’on
constate quand même le rapport à l’argent encore trop présent. Le quatrième document est un
dessin de PLANTU extrait du recueil WANTED publié en 2001. C’est pourquoi nous pouvons
alors nous demander en quoi le sport est une représentation idéalisée de la société. Nous
aborderons donc dans un premier temps le sport et son image idéalisée de la société. Puis, dans
un deuxième temps, les valeurs sportives aujourd’hui entachées.
Lorsqu’on évoque le terme « sportif », il nous vient immédiatement l’idée d’une personne
en très grande forme physique, toujours rendue dans les salles de sport ou sur un terrain.
Cependant, la société d’aujourd’hui a tendance à sur estimer ces individus qui ne sont en réalité
que des hommes et des femmes comme nous tous, dotés de leurs qualités mais aussi de leurs
défauts. En effet, on oublie souvent que derrière cette capacité exceptionnelle qu’ils ont de
gagner des matchs ou des prix, la question de l’argent est bien présente. Sébastien NADOT
dans son article Sport et argent : une veille histoire d’amour nous le rappelle : « Du côté des
sportifs, l’argent est un facteur déterminant de leur mode de pratique. Beaucoup courent après
les récompenses sous toutes leurs formes ». C’est pour cela qu’il semble important de se rendre
compte qu’au-delà du domaine sportif, l’athlète est bien plus considéré pour sa valeur
« marchande » que pour son talent propre. D’ailleurs, le sportif sait se vendre si besoin est et
trouver des moyens pour parvenir à ses fins. Attention tout de même à ne pas généraliser mais
il faut garder à l’esprit que ces individus sont avant tout humains avant d’être athlètes
professionnels et que l’argent joue un rôle primordial si ce n’est « omniprésent dans
l’organisation du sport » - comme le dit l’auteur cité précédemment.
(MANQUE PETIT 2)