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Raisonnement dans la prise de décision
Psychologie cognitive I (PSY1002)
Université du Québec à Trois-Rivières
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RAISONNEMENT DANS LA PRISE DE DÉCISION
Introduction
C'est un processus qui va au-delà du jugement probabiliste.
Les théories réglementaires, qui établissent ce qui serait une décision correcte, la définissant comme une décision qui maximise la valeur ou l'utilité, et qui proposent des modèles mathématiques auxquels ces décisions devraient être ajustées.
Théorie de l'utilité attendue
Théorie subjective d'utilité prévue.
Les choix des gens ne sont pas toujours conformes à ces modèles, et parfois des violations systématiques de certains des axiomes ou des principes de base sont observées. Cela laisse place à des théories plus descriptives qui introduisent des aspects psychologiques, tels que le point de référence et la perspective de la personne (théorie de la perspective) ou la version ou l'appétit pour le risque (théorie du portefeuille).
D'autres théories cherchent à décrire comment le processus décisionnel est effectué et quelles règles ou stratégies sont utilisées.
Stratégie d'élimination par respect
La théorie des modèles mentaux suppose que le choix est basé sur la comparaison entre les modèles que la personne aura formé à partir de chacune des alternatives disponibles.
Approche générale de prise de décision
L'étape consiste à se demander précisément quelle décision doit être prise. L'approche décisionnelle détermine les solutions de rechange qui sont générées. C'est fini par les objectifs de la personne. La plupart des travaux supposent que la réponse optimale est celle qui offre un meilleur résultat à long terme, après un grand nombre de tests, même si les gens considèrent généralement ces tâches à court terme, en essayant d'obtenir le meilleur résultat dans le pr Répétition de Ximo. Cette insensibilité aux objectifs réels des gens a conduit à la plupart des critiques dirigées contre les modèles de réglementation sur lesquels ils sont basés.
Génération d'alternatives, en essayant de ne pas jeter l'un d'eux a priori. Ils seront différents selon les connaissances et les valeurs de la personne, ainsi que les facteurs socioculturels. Les gens ne sont pas performants dans cette tâche, car ils ne considèrent pas toutes les alternatives possibles. Souvent, l'examen de certaines solutions de rechange par rapport à d'autres est déterminé par l'accessibilité de l'information.
Ensuite, ils doivent être évalués de différentes façons. D'une part, la probabilité que chacun d'eux se présente dans le cas d'une décision à risque et, d'autre part, les conséquences auxquelles on peut s'attendre en cas de décision. En ce qui concerne l'évaluation de la probabilité, la prise de décision implique souvent de l'incertitude, puisqu'il s'agit de réfléchir à la façon dont différentes possibilités seront données à l'avenir. - d'autres biais peuvent être observés, comme la tendance centrale à attribuer des probabilités plus élevées aux solutions de rechange les plus souhaitables et à faible probabilité au moins souhaitable. Il y aaussi un excès deconfiance dans le jugement rendu ou le biais de la perspective qui consiste à croire, une fois que le résultat final a été connu, que les choses ne pouvaient pas se produire différemment et que nous l'avions déjà perçu.- il semble y avoir une augmentation de l'exactitude lors de la déclaration sur le biais qui est corrigé et sur les données qui doivent être prises en compte pour l'éliminer. L'expérience ou un niveau plus élevé de connaissance du sujet sur lequel porter un jugement améliore également les résultats.
Conséquences qui peuvent être attribuées en termes de profit ou de perte.
Modèles
Situations où il y a une incertitude quant au résultat, ce qui implique un choix à faible risque et un attribut unique à évaluer dans chaque solution de rechange, habituellement le gain ou la perte économique après l'événement ou non d'un événement.
Lorsque la situation est plus complexe et que chaque alternative présente une série d'attributs qui seront également donnés de manière probabiliste, nous nous retrouverions face à des modèles de risque multi-attributs, tels que des modèles multiplicateurs ou des additifs.
Perspective réglementaire sur la prise de décision
On suppose que les gens savent comment ils se comporteraient dans des situations semblables à celles présentées et dans l'hypothèse qu'ils n'auraient aucune raison particulière d'essayer de cacher leurs véritables préférences.
Théorie des services publics
Ils dérivent des travaux de Jacques Bernoulli et sont une conséquence du développement de la théorie des probabilités au 19ème siècle
Selon la théorie de la valeur attendue, lorsque la personne doit prendre une décision, elle doit attribuer la valeur attendue à chaque solution de rechange et, une fois désignée, le bon choix serait celle dont la valeur prévue était plus élevée.
Souvent, les alternatives n'ont pas de valeur objective, puisque la valeur d'une option est différente pour différents sujets et même pour le même sujet dans des
transitivité ou la substitution, et parfois ces préférences dépendent de certaines variables contextuelles telles que le type de réponse demandée.
Certains théoriciens montrent que la théorie de l'utilité n'est ni normative ni valide descriptive, tandis que d'autres auteurs la considèrent comme un guide adéquat ou un bon critère pour l'homme rationnel, mais pas un modèle précis pour les choix qui sont faits sans réflexion.
Perspective descriptive sur la prise de décision
Théorie de la perspective
Kahneman et tversky commence à partir d'une fonction mathématique, comme la combinaison de certains paramètres peuvent prédire le choix de la personne. Cette nouvelle fonctionnalité comprend d'autres variables liées à la perspective des personnes et au contexte dans lequel la tâche est effectuée.
Un examen préliminaire des solutions de rechange offertes, ce qui en résulterait, permettrait de faciliter la représentation de ces solutions de rechange.
Codage, en termes de gains et de pertes, qui serait influencé par la formulation du problème et par les attentes de la personne; la combinaison des probabilités associées à des résultats identiques; la ségrégation de certains aspects et de la prise en main des risques; l'annulation de composants partagés par toutes les alternatives hautement improbables.
L'évaluation, qui conduirait au choix de l'alternative avec une valeur plus élevée
L'évaluation de l'alternative serait fondée sur la probabilité de la valeur finale et la valeur subjective du résultat.
Une caractéristique essentielle de cette théorie est que les estimations de la valeur d'une alternative sont des changements dans la richesse ou le bien-être.
La théorie du portefeuille
Coombs cette théorie inclut le risque perçu de chaque alternative comme déterminant du choix des gens. Les préférences alternatives sont fonction de deux variables : la valeur attendue et le risque perçu, de sorte que lorsque deux solutions de rechange ont la même valeur attendue, le choix sera une fonction à risque seulement.
Yates la situation de décision typique implique deux considérations: 1.- la promesse d'un gain potentiel d'un certain montant, qui constitue la valeur attendue, et 2.- le risque qui est initialement défini par sa connotation de la vie quotidienne, c'est-à-dire la possibilité subir une perte.
Règles et stratégies dans des situations multi-attributs et sans risque
Dans des situations similaires à celles de la vie quotidienne, la capacité de la mémoire opérationnelle peut difficilement englober toutes les alternatives possibles avec ses conséquences.
Simon a introduit le concept de « rationalité restreinte » en déclarant que ces limitations cognitives incitent les gens à construire des modèles simplifiés de problèmes et à se conduire de façon rationnelle à l'égard de ces modèles simplifiés qui sont construits à travers la perception, le raisonnement et les processus d'apprentissage. Le principe de maximisation serait remplacé par la satisfaction et nous clarifierions les alternatives comme satisfaisantes ou non en ce qui concerne chacun des attributs les plus pertinents et en sélectionnant les alternatives qui répondent à leur niveau d'aspirations dans ces attributs.
Deux objectifs : 1.- découvrir quelles opérations et règles élémentaires les sujets utilisent et, 2.- quels traits de la tâche et du contexte déterminent la sélection et l'utilisation de ces règles.
Règle
Règle conjonctive
Elle éliminerait toute solution de rechange qui ne dépasse pas une valeur de critère dans aucune des dimensions, et ce serait la règle de base pour obtenir une certaine satisfaction.
Règle disjonctive
Vous sélectionnez toute alternative qui dépasse un critère dans au moins une dimension.
Règle lexiographique
Il conduirait au choix de l'alternative supérieure dans la dimension la plus importante.
Modèle d'enlèvement de peau
Tversky voit chaque alternative comme un ensemble d'attributs qui peuvent être mesurés, décrivant le choix comme un processus d'élimination successive des alternatives en fonction de leurs valeurs dans ces attributs. Dans chaque état du processus, un aspect des alternatives est sélectionné et l'une d'entre elles est supprimée lorsqu'elle n'inclut pas l'attribut choisi et que le processus est répété jusqu'à ce qu'une seule alternative reste.
Raisonnement dans la prise de décision
Matière: Psychologie cognitive I (PSY1002)
Université: Université du Québec à Trois-Rivières
